nom(s) ✰ Parrish. prénom(s) ✰ Edgar même si personne ne l'a jamais plus appelé ainsi depuis longtemps. Maintenant, on le connait sous le pseudo de Buster. âge ✰ 37 ans. date et lieu de naissance ✰ Un certain 28 juin 1976 à Denver, la capitale du Colorado.  profession ou études ✰ Propriétaire d’un strip-club au centre de la ville. Ceci est sa couverture, qui cache en réalité un trafic beaucoup plus mafieux, tel que blanchisseur d’argent, sugar daddy ou encore escroc et maquereau. statut civil ✰ On pourrait le caser comme célibataire bien les femmes ne lui tourne jamais vraiment le dos. orientation sexuelle ✰ Les femmes, les vraies femmes, féminines et sensuelles. traits de caractère ✰ Immoral mais ambitieux, immature mais calculateur, plaisantin mais charmeur, charismatique mais volage, extravagant mais certainement plus humain qu'il ne peut le laisser penser. groupe ✰ Misery in my middle name.  avatar ✰ Léonardo Di Caprio. crédits ✰ patisallves.

A ma naissance, on me donna le prénom de Edgard que je mis guère de temps à remplacer par Buster. Tout le monde m'appelait ainsi et continue à le faire. En vérité, il ne reste que ma mère et ma nièce qui connaissent ma véritable identité.
Très jeune, lorsque nous avons déménagé pour San Francisco, je devais aller à la messe le dimanche et dans une école privée la semaine. Une jolie vie de fils à papa que je n'étais pas. A la sortie de l'église ou à l'école, je me bagarrais fréquemment. Je réglais mes problèmes par la force et non par l'intelligence et les mots. A défaut d'ailleurs. Je suis sûr que certains se rappellent encore des coups que je leur donnais dans le ventre et sur le nez. Je n'avais aucun mal à trouver des prétextes pour prendre la mouche. Un mot de travers, un regard qui ne me plaisait pas, et me voilà en train de me battre. Il fallait que j'affirme mon autorité par n'importe quel moyen, que je m'impose et que j'impose le respect. Je ne savais comment m'y prendre et alors, les poings réglaient cela pour moi. J'avais peur de devenir isolé et de n'être rien par rapport aux yeux des autres. Qu'on ne me connaissait que par le fils à papa. Qu'on se moque de moi. Alors j'ai créé une carapace fausse et mauvaise.
Pourtant, il ne me fallut guère de temps pour changer d'attitude. Alors que l'adolescence pose généralement le plus de problèmes, c'est là que je m'assagis. Il s'appelait Jim ou Jimmy, tout dépendait de la personne face à lui. Il n'était guère plus âgé que moi. Deux, trois ans peut être. Aller, disons quatre ans. Toujours est-il qu'il m'a donné les ficelles du métier. Après notre rencontre, je suis peu à peu entré dans le monde mafieux et je m'y sentais à l'aise. J'avais l'impression d'avoir de l'importance. J'étais fier que Jimmy m'est remarqué moi et pas un autre. J'avais l'honneur de faire parti de quelque chose de sélectif et d'illégal. Car l'illégalité m'attirait. Le goût du risque m'attirait. Il m'apprit à me servir des mots plutôt que des poings, ce qui n'était pas une mauvaise chose. C'était désormais plus simple pour manipuler les gens dont j'avais besoin. Je n'avais pas besoin d'inspirer le respect par la force, le charisme était beaucoup plus puissant.
Je me sentis certainement poussé des ailes. Je suivis les traces de Jimmy et j'arrêtai mes études tôt. Je n'avais pas de diplôme. Je partis pour Minneapolis, ville dans laquelle je vis toujours. J'avais laissé ma famille à San Francisco. Je ne donnais plus de nouvelles que par de brefs appels à ma mère, de temps à autre. Ma famille n'était absolument pas ma priorité. Avec Jimmy, nous nous sommes faits une place parmi les trafics en tout genre, sans craindre quoi que ce soit de la police. Peu importe le prix que nous avions à payer pour nous faire une place. On s'imposa. On monta même un réseau de prostitution qui nous rapportait pas mal d'argent et de clients pour d'autres trafics. Nous étions un peu les maîtres du monde. Du moins, c'était ce qu'on pensait.
Puis, petit à petit, des ennemis sont apparus. Nous étions deux, ils étaient des gangs. Ils perdaient peu à peu de leur terrain et cela ne leur plaisait pas vraiment.
L'élève avait dépassé le maître. J'avais pris trop de graine. On parlait de vengeance, de coup monté, de règlement de compte mais en fait, ce n'était pas vraiment la véritable histoire. Jimmy était mort. J'empochais désormais seul les bénéfices et je gérais l'affaire comme bon me le semblait. Je n'avais plus la contrainte de partage. Je n'avais tout simplement plus de limite.

Quelques temps après, j'étais installé comme propriétaire d'un strip-club au centre même de la ville. Tout était en règle. Pourtant, les trafics continuaient à évoluer. Et l'infini que je m'étais fixé, sans règle et sans limite, m'autorisait même à tuer quiconque se mettait sur mon chemin ou tenter de me mettre des bâtons dans les roues. Je n'avais pas peur d'employer des hommes de main pour finir le travail à ma place, ou de régler mes comptes moi même.
Petit à petit, je m'étais imposé et je prospérais ou du moins j'en avais l'illusion. Nul doute que quelqu'un serait un jour plus rusé que moi. Cependant je m'enfermais dans la solitude et la paranoïa dans ma gestion des affaires et je ne faisais confiance à personne. Je gérais tout, tout seul et mon apparence était trompeuse.
Immoral, je me fichais bien de ce que les gens pensaient de moi car j'étais désormais respecté. On s'inclinait et on baissait les yeux. Les montres de luxe et les costumes hors de prix y jouaient beaucoup. Mon physique et mon charisme allaient de pair.
Pourtant, ma sœur vint à mourir. Honnêtement, je n'avais jamais été proche d'elle et sa mort ne m'affecta pas plus que cela. Ou au moins, c'était ce que je laissais paraître. Je voulais en savoir plus car je ne croyais pas au simple accident. Et il était certain que j'agirais en conséquence si leur meurtre était prouvé. Quoiqu'il en soit, sa fille, India, arriva chez moi. J'avais sa tutelle. Quelle horrible idée ! Moi qui était libre, j'étais prisonnier d'une gamine sur les bras que je devais éduquer et nourrir. M'occuper d'elle était tout simplement la pire chose qui pouvait m'arriver. Je n'avais pas de racine et me voilà avec un gamin sur les bras ! Comme si j'avais une famille ... Actuellement, je fais tout pour confier la tutelle à ma mère même si les choses s'avèrent compliquées. Je ne veux pas connaître ma nièce, je me fiche éperdument de ce qu'elle peut devenir. Je ne la connais pas. Certes, je pouvais ne pas fuir quand elle arrivait mais discuter et nous rapprocher. Mais non, je préférais la fuite. Comme un lâche. Les relations restent tendues et les problèmes liés aux gosses arrivaient. Je me prenais la tête sans cesse entre elle et mon business. Je ne me reposais plus. Je devenais carrément malade. Et c'est pour ça que je ne peux pas vivre en famille.
On me conseilla le psychiatre qui est aussi en procès suspendu. Je n'ai pas trop suivi l'affaire, je n'ai plus le temps de lire la presse. Plus le temps de rien ! Toutefois, la folie devait me guetter pour qu'on s'occupe de mon intérêt mental. Bien sûr, je n'avais nulle l'intention de dépenser mon argent pour qu'on me file des cachetons. Il me fallait simplement revenir comme avant et être seul. Rester seul.

pseudo ✰ xGalope âge ✰ 18 ans. où avez-vous connu le forum ? ✰ Par une proposition sur PRD il y a déjà un long moment vous le trouvez comment ? ✰ Tellement nul que j'ai même fait un DC (ici Luke Arsher ) Non ce forum c'est de la pure patate *.*  un dernier commentaire ✰ Plop ?