nom(s) ○ Cartwright, patronyme de son paternel. Inconnu au bataillon, il est le nom relativement courant d’une jeune femme qui s’autoproclame comme étant tout à fait banale. Ainsi, aucune célébrité particulière ne se cache derrière ce simple nom de famille, aucun lourd secret ni même aucune histoire incroyable. C’est juste un nom comme un autre, comme beaucoup d’autres. prénom(s) ○ Amélia, dite « Amy » et Rose. Deux prénoms appréciés, simples et faciles à retenir. Choisis par sa mère en hommage à sa propre mère, la grand-mère de la demoiselle. Ils sont tout deux très appréciés de cette dernière (et pour cause) puisse qu’ils lui donnent l’étrange impression d'être proche de cette aïeule qu'elle aurait tant aimé connaitre. âge ○ Âgée de vingt-six ans, elle souffre d'une légère forme de ce qu'on qualifie du syndrome de Peter Pan et a ce fichu sentiment de grandir trop vite. Beaucoup trop vite. date et lieu de naissance ○ Amy est native du huit novembre (1987) à Scottsdale, dans l’Arizona. profession ou études ○ Officiellement informaticienne pour une entreprise, mais officieusement et depuis peu elle est aussi hackeuse professionnelle à son propre compte (au service de particuliers). statut civil ○ Faussement amoureuse et en couple. orientation sexuelle ○ Hétérosexuelle, elle n'aime que les hommes. traits de caractère ○ Adroite, amusante, audacieuse, brillante, bornée, caractérielle, casse-cou, compliquée, désordonnée, directe, dynamique, entière, étourdie, fidèle, impulsive, indépendante, indomptable, insouciante, instable, libre, naturelle, originale, passionnée, pétillante, persévérante, perspicace, rancunière, sensible, souriante, spontanée, susceptible, téméraire, tolérante. groupe ○ Dancing with the devil. avatar ○ Emily « Emma » Jean Stone. crédits ○ fuckyeahestone @tumblr.

So long ago, another life, I can feel your heartbeat. | LISTEN
Amélia Rose Cartwright, plus couramment dite Amy, est née au mois de novembre (1987) - le huit - à Scottsdale dans l'Arizona. Dans une tout petite, minuscule et ridicule clinique de l'état, néanmoins pleine de charmes. Elle a grandit là-bas. Elle y a apprità lire, à écrire, à dessiner et à colorier entre les lignes sans jamais les dépasser. À ses dix ans, ses parents qui éprouvent de fortes difficultés à joindre les deux bouts, décident de faire leurs valises et - avec leur fille - partent s'installer dans la grande ville de la grosse pomme. À New York. Avec l'espoir d'y trouver de meilleures conditions de vie, mais aussi afin d'offrir à leur enfant une meilleure scolarité et un panel de choix d'avenir plus large que le faible potentiel de Scottsdale. Allant régulièrement rendre visite aux grands parents de la gamine, dans la ville de Minneapolis, en période de vacances scolaires, jours fériés etc. Ils passent leur quotidien à regarder grandir et murir leur fille, leur amour. La prunelle de leurs yeux, l'étincelle de la vie.

❖ MINNEAPOLIS.
La famille. Cette incroyable richesse, qui nous donne les outils pour pouvoir tout affronter. Traverser les moments extraordinaires comme ordinaires, les moments simples et les plus difficiles. Les hauts, les bas. La famille, ce bien ancestral pour lequel on donnerait tout. Pour lequel on donnerait sans compter. Fille unique. Selon les dire de sa grand-mère, enfant, Amélia était bien plus calme que ne l'était sa propre mère au même âge. La blondinette sauta sur les genoux de la femme au visage marqué par le temps, mais encore robuste.

« - Raconte-là encore une fois mamie, s'il te plait. Juste une fois ! » Avait lâché l'enfant impatiente.

Ne se faisant pas prier la vielle femme avait reprit à son tour, de sa voix grave et douce, l'histoire qu'elle connaissait par cœur. Une histoire pour enfant, dont l’héroïne n’était autre qu’une petite fille d’à peu près le même âge qu’Amy. Un conte imaginaire des plus rependus. Une enfant blonde et un lapin blanc pressé.

- Suis-je devenu fou ? - Oui je pense Chapelier. Mais je vais te dire un secret : la plupart des gens bien le sont. ❞

La grand mère Cartwright sourit tendrement, replaçant une mèche blonde comme les blés derrière l'oreille de sa petite fille. Endormie dans ses bras, l’enfant savoure l’instant présent, secrètement. Elle savoure la jeunesse qui semble éternelle sur ses traits, elle savoure l’amour.

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It's not a dream, remember us. I can see it in your eyes. | LISTEN
❖ NEW YORK.
La pluie tombait depuis déjà plusieurs jours et semblait ne plus vouloir s'arrêter. D’interminables filets d’eau mouillée, dégoulinant sur les fenêtres en chantonnant. Tout un tas de petites perles brillantes et lumineuses malgré la grisaille environnante. Pourtant, rien n'était à mène de briser leur bonheur présent, du moins c'est ce qu’ils pensaient tant qu’ils étaient là, côte à côte. Main dans la main. Tobias Trump. Lui et elle, elle et lui, ils s’étaient rencontrés quelques mois plus tôt dans le quartier de Brooklyn, à New York. Et s’en souvenaient encore, comme si c’était hier.



Ce jour-là Amélia se baladait, comme à sa grande habitude depuis quelques jours (depuis son arrivée à vrai dire), sur le chemin goudronné coupant et recroisant le parc. À l'image de ces touristes pommés, la blonde parcourait le Central Park de long en large, un éblouissant et inconditionnel sourire sur les lèvres et les yeux brillants de curiosité. Elle marchait, encore et encore, ralentissant de temps à autre pour admirer le paysage ou encore intriguée par un bruit dont elle chercherait la source. C'est comme ça que son attention s'est déposée sur lui, assis là sur son banc, seul. C'est comme ça qu'elle l'a remarqué, qu'il l'a marquée. Tobias Trump, l'enfant seul du Central Park. Tobi. Assis là, il tenait entre les mains un livre, dont il semblait dévorer chaque passage, chaque morceau, chaque paragraphe, chaque phrase, chaque mot et même chacune des lettres. Il était beau concentré sur ces pages jaunies par le temps et gesticulant avec le vent.

« Étudiant en littérature ? » Avait-elle lâché d’une petite voix douce et timide, teintée de son accent bien particulier et on ne peut plus marqué.

Bien qu’encore jeune, du haut de ses seize ans, la demoiselle n’avait pas eu besoin de faire de grands efforts mentaux pour reconnaitre le livre concerné. Zadig, de Voltaire, livre français datant de 1747. Elle était restée plantée là, plusieurs minutes, attendant impatiemment qu’il daigne lui accorder son attention. Ce qui n’avait pas tardé à piquer sa curiosité. Il avait finalement levé les yeux vers elle, mais probablement pas assez haut, puisse qu’il avait suffit de quelques minutes à peine pour qu’Amy ajoute, de toute sa franchise et sur un cet habituel ton cassant qu'elle maitrisait si bien.

« C’est pas un crime de porter des pastèques.. » Désignant du mot pastèque, sa poitrine un peu trop opulente pour son âge sur laquelle Tobias avait eu la maladresse de perdre son regard un instant.

Après quoi elle était partit d’un petit rire mesquin enjolivé d’un clin d’œil, visant à relâcher les tensions de cette réplique un peu trop aiguisée. Le silence qui s’était installé avait semblé étrangement s’éterniser et ce n’est qu’au bout de longues secondes, de quelques minutes, d’un certain moment que Tobias – remit de sa surprise – s’était mit à rire et avait enchainé la conversation. C’est comme ça qu’il avait accepté d’ouvrir sa porte à la jeune femme. Qu’il l’avait laissée entrer dans sa vie doucement et étrangement. Qu’il lui avait ouvert la porte de la folie, oui parce qu’elle était folle l’enfant, il le savait. Elle était folle et lui il adorait ça.

C’est comme ça qu’on voit si on se plaît avec une personne, quand on peut se taire tout à fait, au moins une minute et profiter du silence. ❞

Dissipant ces quelques souvenirs, ses images désorganisées mais toujours aussi claires, de son esprit. Amy s’était rendu compte qu’elle avait perdu la page, la ligne et le cours même de sa lecture. Et c’est sans trop réfléchir elle s’était remise à sa recherche. Sa tête épousant parfaitement la forme des cuisses du garçon. Au fond d’elle, une petite voix lui disait qu’elle adorait tout particulièrement ses petits instants calmes passés tous les deux. A nouveau perdue dans ses pensées lorsque Tobi avait brisé le silence de sa voix douce. De cette voix rauque et suave qu’elle appréciait tant.

« Qu'est-ce que tu lis ? »

Elle n’avait put réprimer, au son de sa voix, un de ces sourires dont elle seul a le secret. Pourtant, taquine et envieuse d’impatience elle avait reprit sa lecture et même terminé la page avant de n’émettre le moindre bruit, la moindre réaction, le moindre bruit de réponse. Elle se rappelle avoir tourné la tête en direction de l’homme, posant sa main sur son bras. Sa peau était douce et c’est tout en la caressant, en baladant ses doigts à son contact, qu’elle lui avait répondu.

« Zadig de Voltaire, un livre français, publié en 1747. Mais je crois que tu sais déjà tout ça, non ? »

Alors, à ces mots il lui avait semblé le voir sourire et – avec cet air innocent sur le visage – elle l’avait senti s’évader, comme elle auparavant, dans ses propres souvenirs. Sa propre version de leur rencontre, de leur histoire. Son propre passé. Dehors des tombes d’eau s’étalaient sur les vitres, mais rien ne les touchaient, rien ne les perturbaient et rien ne les inquiétaient. Non, rien ne les pénétraient tant qu’ils étaient ensembles. Côte à côte.

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We'll find our place in time, a place in time beyond the sun. | LISTEN
❖ LETTRES ET AUTRES COURRIER, D'UN PEU PARTOUT.
L’argent en poche et le cœur gros, Susan s’était saisit de la feuille que madame Watson lui avait tendu quelques seconde plus tôt et d’une main tremblante du stylo à sa portée. La mère Trump, l’air sévère n’avait pas quitté des yeux la scène, suivant presque avec délectation chacun des mouvements de madame Cartwright qui – doutant un bref instant – s’était finalement attelée à la lourde tâche d’effacer sa fille de le mémoire du garçon. Et c’est comme si elle se dressait entre eux, comme un désert habité de seulement deux rose entre lesquels grandirait peu à peu un haut et long mur. Un rempart de fils barbelés, aussi douloureux et déchirant que leurs propres aiguilles.

NEW YORK, Etats Unis d’Amérique.
Monsieur et madame Cartwright,
ont la douleur de vous faire part du décès d’Amélia Rose Cartwright, survenu le 9 de ce mois en cette année 2004. Ses obsèques religieuses seront célébrées samedi prochain, à 14 heures 45. Cependant, nous ne joignions pas à ce courriez ni la ville ni le lieu exacte où se déroulera la cérémonie et pour cause, nous ne souhaitons pas vous y voir. En aucun cas. Bien que nous ne nous soyons jamais officiellement opposé à la relation unissant nos deux enfants, nous ne l’avons jamais vraiment cautionnée non plus et nous n’hésitons pas à vous dire que nous tenons pour responsable Tobias Trump du décès de notre enfant.
Avec tout notre respect, mais aussi toute notre affectation et notre douleur, nous pensions que mieux vaut pour lui et vous. Comme pour nous tous, qu’il l’oublie et continue sa vie loin de nous. Plus rien ne nous relie maintenant et il nous faut apprendre à vivre sans elle. Aussi, j’espère que vous comprendrez notre demande.
Je vous salut cordialement, CARTWRIGHT SUSAN et son époux CARTWRIGHT Richard.



L’argent ne fait pas le bonheur, non c’est bien vrai, mais il y contribue tout de même d’une manière non négligeable. Tous ces petits billets verts, toutes ces petites pièces d’argent et de cuivre. La véritable question est : lorsqu’on a seize ans, des parents qui se tuent au travail et la guigne d’aimer l’inaccessible, comment refuser une belle somme contre le silence ? L’amour est-il assez fort pour survivre à ça ? Ce serait étonnant.



Bonjour Tobi,
c’est encore et toujours moi. Oui encore et encore, toujours et toujours. Je t’écris cette trente-septième lettre, après les trente-six autres sans la moindre réponse. Je t’écris cette trente-septième lettre pour te dire, pour que tu sache, que je ne t’oublie pas. Tu me manques Tobias. Je t’écris cette trente-septième lettre pour te dire que je t’aime, que je regrette et que j’aimerais pouvoir revenir en arrière. Tout effacer. Etre là, près de toi, pour toi. Pour nous.

Je voulais pas que tu me vois pleurer, excuse moi. Le truc tu vois, c’est que ces derniers mois, j’ai pas cessé de me dire que je ne tenais pas franchement à toi... Chose très facile, vu la vitesse à laquelle tu es parti... Mais je me sens tellement seule. Et j’ai beau me dire et me répéter qu’en fin de compte j’adore ma vie de femme forte qui assure et assume tout toute seule ! La vérité c’est que... c’est que je pense tout le temps à toi finalement.. ❞

Peu importe ce qu’il advient de cette lettre, de ce bout de papier couvert d’encre et de mes sentiments. Peu importe ce qu’il adviendra de ce trente-septième message. Je t'aime Tobias Trump.

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We'll find our place in time, a place in time to call our own. | LISTEN
❖ NEW YORK. Bonjour Tobi,
je ne t’ai pas écrit depuis maintenant plusieurs mois, de longs, de très longs mois et sache que je pense ne plus le faire. Je ne supporte plus ton silence et je commence à réaliser que ta mère disait peut-être vrai. Je commence – à mon plus grand malheur – à penser, comme elle, que tu ne voulais plus de moi. Que tu ne m’aimais plus. Aussi, je ne veux plus m’acharner, il est grand temps pour moi d’aller de l’avant et de te laisser vivre le cours de ta vie. J’ai trouvé un vrai boulot qui me rapporte juste assez pour vivre convenablement, sans pour autant avoir besoin de me serrer la ceinture. J’ai rencontré quelqu’un, aussi, et je crois que je l’aime bien. Pour la toute première fois depuis toi, je crois avoir – enfin – rencontré quelqu’un capable de me faire oublier un peu le goût amer des choses.
Je ne t’oublie pas Tobi, tu est et resteras à tout jamais dans mon cœur, je fais simplement le choix d’avancer sans toi, comme tu l’as fais – toi-même – il y a une dizaine d’années. Adieu.
Amy.


Elle se relit encore et encore, tenant la lettre entre ses mains puis la reposant sur la table de manière répétitive, comme pour un arrêt sur image comme un robot en plein crash. Elle la prend, la pose, la reprend et la repose. Elle la reprend encore, et ainsi de suite, durant un long – très long moment – indécise. Indéfiniment. Elle la relit, la replie, regarde l’enveloppe du coin de l’œil, mais n’y touche pas. Alors elle la relie encore. Et ainsi de suite. Non, elle ne l’envoie pas, elle se contente de la regarder. Encore et toujours, et c’est comme si elle vivait à travers son regard. Elle reste là, comme ça, durant une ou peut-être deux heures. Elle reste là, comme ça, à ne pas savoir quoi faire, ni quand ni comment. Puis au bout d’un certain temps, d’un bel instant, elle finit par se saisir d’un briquet. Elle en allume la flamme, met le feu à la lettre avant de la balancer dans l’évier encore humide de la dernière vaisselle. Dans son cœur comme dans sa tête c’est terminé, tout est vide. Toutes ces histoire son terminées.

Croyez ce qui vous aide à mieux dormir la nuit. ❞

Elle ouvre les yeux et les referme presque aussitôt, aveuglée et désorientée par les quelques rayons du soleil qui pénètrent la chambre à travers les légers rideaux - blanc cassé - suspendus aux fenêtres. Elle est fatiguée, plus fatiguée qu'elle ne l'a jamais été. C’est une fois accommodée à la lumière qu’elle les rouvre, avec confiance et assurance, dégageant les quelques mèches - fraichement rousses - qui lui picotes le visage. Comme par réflexe, son tout premier geste du matin est de se redresser en trombe pour vérifier près de la porte si sa valise est toujours belle et bien là. Si tout cela n'était pas qu'un simple rêve. Puis elle se rallonges et referme ses petits yeux, à nouveau. « Je suis de retour. » Pense-t-elle, le cœur battant à tout rompre. Au bout de quelques minutes, elle finit par se lever et prendre la direction de la salle de bain. Incroyablement alléchée par l’odeur des pancakes chauds fraichement tirés de la poêle. Amy se souvient de cette maison, elle s’en souvient comme si elle n'en était jamais partie. C'est ici chez elle. Ici et nul part ailleurs, qu'il le veuille ou non. Elle se glisse dans la douche et allume l'eau chaude. Bien chaude, beaucoup trop chaude, comme elle l'aime en vérité.

« Tu me fais une petite place ? » Lâche une voix grave, qu’elle connait bien.

Il est là, debout, derrière la porte de la douche. Nu. Il est là, sans vêtements, nu comme un vers. Et l'espace d'un instant Amy croit en voir un autre. Un instant, comme on ferait projeter une diapositive c'est Tobias qu'elle a sous les yeux. C'est lui qu'elle voit là, nu, un sourire chaleureux aux lèvres et lui tendant les bras. Puis, l'instant d'après il a disparu pour laisser place à cet homme. Marc. L’homme de son cœur, de son tout nouveau cœur. Son nouvel amour ? Peut-être bien. Sa nouvelle vie ? Ça c'est certain. Et pour toute réponse, tandis qu'elle ouvre la porte transparente pour lui tendre la main et l’inviter à la rejoindre, Amélia fond en larmes. Elle est fatiguée la gosse, épuisée. Abimée par la vie. Pourtant, sauvage et téméraire, elle continue de se battre sans cesse. Comme elle l'a toujours fait, mais elle tremble à l’idée des prochaines épreuves que lui prépare la vie.

« Pardon Amélia, pardon vraiment, je m'suis comporté comme un crétin hier. Je n'voulais pas qu'on s'dispute comme ça, je regrette vraiment (...) mais j'ai tout quitté pour venir ici avec toi et parfois j'ai cette fichue impression que t'es pas vraiment là, que t'est pas vraiment avec moi. Et si tu savais comme ça m'énerve. » Lâche alors l'homme qui se tient face à elle avant de la prendre dans ses bras. « Arrête de pleurer, je t'en pris arrêtes. Tout ira bien pour Margaret, elle est forte, c'est d'ailleurs probablement d'elle que tu as hérité ce tempérament de feu. Tout ira bien Amélia, je t'en fais la promesse. » Lui chuchote-t-il au creux de l'oreille.

Sa main dans les cheveux mouillés de la rouquine, la maintenant contre lui, il fait de son mieux pour la rassurer. Lui susurre tout les mots possibles et imaginables et lui fait bon nombre de promesses impossibles. Il est comme ça l'inimitable Marc, parfois tout blanc et d'autres fois tout noir.

Ne faites pas de promesses que vous ne pouvez tenir. - Ouais, mais celles là sont les meilleures.. ❞

pseudo ○ Rebaptisée « À vol d'oiseau » sur la toile et en particulier sur Bazzart et Léa de prénom, l'un comme l'autre les deux appellations me vont. âge ○ Vingt-deux ans depuis le cinq mars dernier. où avez-vous connu le forum ? ○ En grimpant l'escalier interminable menant jusque Peter Pan, sur son étoile, avant de louper la marche pour dégringoler au centre de la terre et y retrouver petit pied le petit dinosaure. un dernier commentaire ○ Ne me reste plus qu'à ajouter que j'adore les liens et que j'en recherche de façon plus ou moins active. J'aime bien les liens simples mais bourrés de folies, qu’on cherche à deux pour obtenir quelque chose d'assez concentré. Par conséquent, ma boite Mp est grande ouverte à tout (in)connu et ce pour toute proposition/question (personnelle ou non). Je ne mord pas, rassurez-vous, ou du moins pas très fort. En attendant qu'il y ai plus d'informations sur la demoiselle, vous pouvez jeter un œil à la fiche du scénario de Tobias.